Quelques constats

La Côte-Nord : le plus haut taux d’infractions sexuelles en 2021, soit 333 cas par 100 000 habitants. 

  • Près de 90% de cas, la victime d’une agression sexuelle : une fille ou une femme ; 
  • Plus de 10% de Québécoises: avoir subi une agression sexuelle avant l’âge de 15 ans; 
  • Au Canada, femmes autochtones : plus de 60% ont subi des agressions physiques ou sexuelles au cours de leur vie ; 
  • Les taux les plus élevés : Les jeunes de 15 à 24 ans; 
  • Plus de 80% de victimes connaissent leur agresseur sexuel ; 
  • Plus de 90% de cas, l’auteur présumé est un garçon ou un homme ;   
  • Plus de 50% de agressions sexuelles commises sur des adultes sont perpétrées dans une résidence ou une propriété privée;
  • Les femmes sont plus souvent victimes d’agression sexuelle de la part d’un conjoint ou d’un partenaire intime (actuel ou ancien) que les hommes ;
  • Une minorité des agressions sexuelles rapportées par la police sont commises avec une arme ou causent des blessures physiques ;
  • Une faible proportion des agressions sexuelles est signalée à la police chaque année. 

Sources: Institut national de santé publique du Québec et Ministère de la Sécurité publique (Québec) et Statistique Canada

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Ça nous concerne tous!

Au-delà des chiffres, lorsqu’un comportement (gestes, paroles, attitudes) nous rend inconfortables, nous pouvons réagir même si nous considérons ce comportement inoffensif. 

Nous devons reconnaîre que rien ne justifie jamais une agression à caractère sexuel. 

Il faut rester alerte et puis agir, il faut écouter et en parler entre nous; plus que tout, il faut croire les victimes et les soutenir et les accueillir avec ouverture et respect.  

Que ce soit de proche ou de loin, la violence sexuelle nous concerne toutes et tous.

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